Schéma d’étude :
*Randomisation stratifiée sur ARN VIH à la pré-inclusion (≤ ou > 100 000 c/ml) et la présence ou non d’une hépatite virale associée
Objectif :
- Non infériorité de RAL QD : % ARN VIH < 50 c/ml en ITT, NC = E (borne inférieure de l’IC 95 % bilatéral de la différence = - 10 %, puissance 90 %)
Caractéristiques à l’inclusion et devenir des patients
Réponse au traitement à S48
* Exclusion des arrêts pour intolérance ou pour raison non liée au traitement
* IC 95 % de la différence = - 8,3 ; 2,7
Augmentation moyenne des CD4/mm3 à S48 (analyse en échec observé) :
+ 196 (RAL BID) vs + 210 (RAL QD)
Tolérance à S48 :
Echec virologique : définition
- Non réponse = pas d’obtention de 2 CV consécutives < 50 c/ml à S24 ou lors de l’arrêt prématuré du traitement
- Ou rebond = après une réponse initiale, ARN VIH confirmé ≥ 50 c/ml
* Génotype réalisé seulement chez les patients avec ARN VIH > 400 c/ml
2/2 (RAL BID) et 7/9 (RAL QD) patients avec émergence de résistance à RAL avaient un ARN VIH
à l’inclusion > 100 000 c/ml
Données pharmacocinétiques :
- Les concentrations résiduelles de raltégravir étaient plus de 6 fois supérieures avec le dosage en 2 prises/jour que avec celui en 1 prise/jour
- Bien qu’une association entre les concentrations résiduelles de raltégravir et l’efficacité virologique était mise en évidence dans le groupe RAL QD, il n’a pas été possible d’identifier clairement un seuil pour l’efficacité